Elle avait peur, seulement peur. De soi même, de tout le monde, de n’importe quoi. Mais en faite, elle ne savait pas de quoi elle a cette peur unique. Chaque fois quand elle regardait dans le miroir, elle s’effrayait. Ne pas, parce- qu’elle avait l’air extraordinaire, ou parce- qu’elle était moche- Non, elle était jolie. Mais quand même, elle restait devant son image dans le miroir, tremblante, livide, comme sa chemise blanche avec la tache marrante du café. Chaque jour en s’habillant elle avait peur de cette tache. Ce soir elle a frappe à ma porte. Elle a frappe si doucement, que je me suis effraye. J’ouvrirait la porte et je lui ai vu., tremblante, livide comme sa chemise blanche avec cette tache marrante du café. Elle tombait dans mes bras et elle pleurait.


Juin 2001 by Marius Jacob